Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Pierre Dubreuil (1891-1970), Portrait de femme, huile sur toile, vers 1925

Provient du château de Bois-Salair (Mayenne). Pierre Dubreuil, né à Quimper. Français dont l’ouvre est située à la frontière entre le figuratif. Pierre Dubreuil perd son père à un an ; sa mère quitte le Finistère. Et se rapproche de sa famille du Morbihan. Où il « passera toute son enfance et son adolescence. Il fait ses études au lycée de Vannes. Et bachelier à seize ans, il commence à peindre et dessiner puis quitte la Bretagne. En 1907, où il s’installe dans le quartier de Montparnasse. Quittant après un trimestre l’ École des Beaux-Arts. Et conseillé par Per Krogh. Dubreuil entre en 1909. À l’atelier d’ Henri Matisse. Qui lui fait connaître les fauves. Et où il étudie la peinture et la sculpture. « peinture et dessin le matin, modelage l’après-midi, il est assidu à l’atelier jusqu’à sa dissolution au printemps 1912 ». À cette date, il est mobilisé jusqu’en. Entretemps, il épouse Elvire Ventri d’origine italienne, en 1913. À Montparnasse, il fréquente divers ateliers et académies où il rencontre Marcel Gromaire. Ou encore Per Krohg, qui deviendront ses amis. S’ensuit une période féconde, où il réalise principalement des natures mortes. Et ponctuée d’importants achats de la galerie Barbazanges-Hodebert. Les années 1920 sont une période prolifique : il peint Paris, la Bretagne, des portraits. Démobilisé, il peut exposer à partir de 1921 aux Salon des Indépendants. Au Salon d’Automne. Dont il devient sociétaire la même année ; il expose aussi aux Tuileries. À la galerie Georges Petit. « Il participe à plusieurs expositions collectives, notamment au Japon où le musée de Tokyo acquiert un de ses portraits. Il s’initie également à la gravure. Qui prendra, par le biais des illustrations, une place décisive dans son oeuvre ». On lui doit la décoration murale de l’École de Navigation de Paimpol. Il travaille sur ce projet avec Jean Émile Laboureur. On cite encore de ce moderne si libre d’aucune tyrannie moderniste : « Concert champêtre », « Repos de Moissonneurs ». Il fait partie de la trentaine d’artistes de Montparnasse. « qui ont peint les colonnes de la Brasserie La Coupole. Pour son inauguration en 1927, avec Auguste Clergé. Il présente deux peintures au Salon des indépendants. De 1927 et, en 1929, au Salon des Tuileries. Un Nu et Le Train de ceinture. « En 1930, il collabore avec son ami Gino Severini. À l’illustration d’une édition espagnole du Cimetière marin de Paul Valéry. Cet item est dans la catégorie “Art, antiquités\Art du XXe, contemporain\Peintures”. Le vendeur est “trazbon” et est localisé dans ce pays: FR. Cet article peut être expédié au pays suivant: France.
  • Type: Huile
  • Caractéristiques: Sur toile
  • Thème: Portrait, Autoportrait
  • Genre: Néo-réalisme
  • Style: 1920-1930